dimanche 31 janvier 2010

L'année de la biodiversité.
(Premier message de)
Image issue d'AGORAVOX : Article Biodiversité

Ce siècle est celui des dangers. Les impératifs écologiques ne peuvent plus être niés comme ils l'étaient au siècle précédent. Cet état de fait ne signifie pas de la part des "élites" détentrices des pouvoirs qu'il y aurait "prise en compte" des nécessités de réaction et de révolution induits. Disons qu'autrefois elles ne voulaient pas en entendre parler. Maintenant c'est devenu impossible et donc, au contraire, on en parle partout et on écrit... Beaucoup ! Le temps des palabres, peut-être incontournable, est venu. Récupérer le problème pour mieux l'enterrer sans en avoir l'air est la stratégie d'un moment nécessaire qui devait sûrement arriver. Le problème vient de ce qu'il risque de s'éterniser, ce qui sera assurément tant que les sujets-consommateurs ne se mueront pas en citoyens actifs refusant enfin la voie unique de la croissance éternelle.

Dans l'attente les palabres continuent. Avec des films et un point fort à Copenhague, en 2009 nous avons beaucoup devisé sur le réchauffement climatique. A la fin de l'année et à Copenhague: - Rien - (comme prévu.) Sur le présent blog je vous avais présenté ma maison, préoccupation à mon avis plus utile et sur laquelle surtout je détenais un pouvoir palpable. En 2010 nous perdrons encore notre temps en prières : Ce sera l'année de la biodiversité ! Première "espèce" en voie de disparition, il était grand temps, à l'ouverture de cette seconde décennie du siècle, de penser à elle !

Que nos maîtres se rassurent, nous nous contenterons de penser, de palabrer et de prier. Donc sur l'initiative de l'ONU et à défaut de sauver les espèces nous serons toute l'année sous le signe de la biodiversité. Amen !



Personnellement je vous parlerais de tout et de rien, donc assez peu de biodiversité. De toute façon cela ne changera strictement rien à notre avenir ! Le ciel se couvre, les espèces crèvent tout autour de nous mais la fête continue pour L'homo sapiens... Réjouissons nous donc avec lui ou plutôt jouissons !

Tant que ça dure...

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