lundi 16 août 2021

ATTENTION À L’ EAU !

 

( Dessin original de Jean-Pierre Petit )
Hors le corona-circus il ne se passe apparemment rien dans le monde. Rien
d’autre que ce corona-circus politico-médiatique depuis que les cadavres encombrent les rues. Là entraîné par l’ambiance j’exagère mais à dessein… En fait la télé montre quelques morts-vivants (des comédiens!), les problèmes ne concernent que quelques lits d’hôpitaux mais les services étant dramatiquement saturés c’est comme si nous allions tous mourir. Heureusement, grâce à un «vaccin» sorti miraculeusement des laboratoires en quelques mois, une immunité collective nous est promise par les mêmes, à condition de respecter quelques règles certes dictatoriales mais aussi «sanitaires» car ces gens ne nous veulent que du bien, c’est évident !

Sans cet encombrant corona-circus nous saurions que d’autres catastrophes ont eu lieu, des vraies celles-ci, par exemple les dévastatrices inondations en Allemagne qui ont eu lieu le mois dernier. Le climat est une chose incontrôlable… Ils nous prennent vraiment pour des cons !


Le présent message causera donc climat. Il est aussi une suite à mes «propos sur l’effet de serre» paru en mars dernier. J’y avais développé une critique de l’explication officielle et publique du phénomène physique expliquant l’effet de serre atmosphérique. Pour moi les savants semblaient s’être égarés mais finalement leur «forçage radiatif» lui-même ne serait-il pas plutôt un leurre ? Et le climat un domaine réservé ? À ce moment là je croyais à une simple erreur. Ça pourrait surprendre à propos d’un phénomène physique finalement assez simple et banal. J’ai, depuis, découvert des indices ouvrant à de nouvelles réflexions. La manière dont fonctionne réellement l’atmosphère semble tout simplement confidentielle et réservée à une élite autorisée. Dit autrement on nous ment beaucoup ! Le mensonge n’est pas spécifique au thème qui nous intéresse ici. Avec notamment la fausse crise sanitaire qui secoue présentement ceux qui veulent bien se réveiller, se révèle un monde construit sur des impostures. La France du XXe siècle aux allures de démocratie promettait un avenir paradisiaque grâce au progrès continuel. Nos illusions désormais perdues, des certitudes millénaires s’écroulent et un sombre univers surréaliste devient réalité. Nous ne sommes désormais sûr de rien. C’est l’Internet qui a commencé à ouvrir la boite de Pandore où des choses restaient encore cachées, telle «l’argent-dette» sous la forme d’un DVD sortit en 2008. Ce DVD qui révélait l’imposture monétaire a fait un tabac. Il faudra cependant attendre la comédie covidesque de 2021, c’est à dire maintenant (!), pour permette au curieux et aux méfiants de réaliser l’étendue de notre servitude. Il reste toutefois énormément de gens naïfs sous hypnose médiatique, présentement volontaires pour une piqûre qui va les anéantir ainsi que l’ont souhaité nos maîtres.


Pour en revenir au sujet, pourquoi la manière dont fonctionne l’atmosphère ne se trouve-t-elle pas dans Wikipédia ? Pourquoi y trouve-t-on des âneries à la place, par exemple la fumeuse théorie du «forçage radiatif» ? Aidé par le présent corona-circus, dont on devra bien plus tard reconnaître, comme de toute mauvaise chose quelques bons côtés, l’évidence s’impose : Les raisons sont politiques et, peut-être... Militaires.


La maîtrise du climat est un enjeu hautement stratégique : Il ne faut pas savoir comment marche le climat ! Enfin pas complètement car certains domaines doivent rester réservés. C’est là qu’il devient intéressant de revenir sur mes propos du printemps dernier. J’avais notamment insisté sur le rôle de l’eau qui en est l’élément clef, tout le reste servant à faire diversion. Ainsi mon attitude vis à vis de ces connaissances est-elle nouvelle puisque auparavant je croyais à de simples bourdes.


Donc l’eau c’est quoi ? Deux atomes d’oxygènes alliés à un atome d’hydrogène soit la formule H2O, jusque là tout le monde suit… Allons plus loin : C’est un semi-conducteur. Tous ceux qui ont fait leurs études dans le technique suivent encore ici... Toutefois si votre vocation a été de faire du droit, d’être restaurateur ou simplement coiffeur vous avez oublié bien sûr ce qu’est un semi-conducteur même si vous avez appris ça au collège comme tout le monde. Donc pour les non-techniciens il faut que je vous l’explique.

Dans la nature nous avons trois types de comportement de la matière vis à vis de l’électricité,

- les isolants qui ne conduisent pas l’électricité.

- les conducteurs qui permettent le passage de l’électricité.

- les semi-conducteurs pour qui ça dépend. À l’état pur ces corps sont des isolants électriques. Mais mélangés avec d’autres matériaux ils deviennent conducteurs. Parfois de très faibles impuretés suffisent à rendre conducteur de l’électricité un semi-conducteur. On dit alors avoir affaire à un semi-conducteur dopé. Ces matériaux, dès lors qu’on a pu en disposer sous une forme cristalline, par exemple le silicium, on permis aux hommes de se construire des machines capables d’opérations électriques et électroniques complexes sans lesquelles nos ordinateurs n’existeraient tout simplement pas.

À ce niveau du discours je vois venir des remarques, mais celles de techniciens cette fois car pour eux l’eau n’est pas un semi-conducteur comme l’est le germanium, le silicium et plein d’autres bidules utiles en électronique. Ce n’est pas faux, techniquement, car ce matériau là, liquide ou gazeux à température ambiante est inexploitable en électronique. Mais en toute rigueur c’en est bien un. Considérer ses propriétés électriques, de semi-conducteur donc, reste fondamental si l’on considère la place qu’il occupe dans la nature. Notamment vis à vis de ses propriétés d’interception directe des rayonnements électromagnétiques en de nombreuses bandes, pas seulement dans l’infrarouge. C’est ainsi que l’on peut chauffer de l’eau dans un four à micro-ondes. C’est ainsi que le faisceau électromagnétique en provenance d’un satellite vers votre poste de télévision peut être coupée en présence d’épais nuages, typiquement en cas d’orage. L’eau sous forme vapeur ou aérosols peut aussi s’électriser dans la mesure où elle subit certaines contraintes mécaniques et/ou thermiques car cette caractéristique semi-conductrice de l’électricité implique aussi des réactions particulières à certaines contraintes comme à la chaleur et/ou à d’autres rayonnements. Nous devons aussi considérer l’eau et ses mélanges. Tout d’abord considérer que de faibles impuretés font de l’eau un conducteur électrique puisque c’est un semi-conducteur. L’eau salée, par exemple, conduit l’électricité. Au delà du fait la «loi des mélanges» fait que ses autres caractéristiques physiques changent aussi. L’eau salée a notamment besoin d’être plus froide qu’une eau pure pour arriver à passer de l’état liquide à l’état solide, etc..

Revenons maintenant à l’actualité. Celle que l’on nous cache bien sûr puisque hors covid règne un vide sidéral. C’est ainsi qu’à mi-juillet dernier des pluies diluviennes se sont abattues sur l’Allemagne. Elles ont tué 200 personnes environ. Hors corona-circus, c’est à dire avant l’an 2020 ces pluies auraient fait la une des médias plusieurs jours durant. Bien sûr ce genre de chose peut toujours arriver mais ce qui surprend ce sont les chiffres. Des records de pluies ont été battu. À Cologne c’est 154mm d’eau qui est tombé alors que le précédent record était de 95mm. Le rapport du nouveau record par rapport au précédent est donc de 1,6. Une telle progression d’un record par rapport au précédent est totalement anormale. Il y a donc forcément une élément particulier qui est intervenu et ce serait bien de le trouver.

Le premier élément suspect est le changement climatique. Toutefois même en considérant cette réalité expliquée par moi-même en mars dernier que la montée des températures n’est pas la cause première du changement climatique mais la quantité d’eau de plus en plus importante présente dans l’atmosphère, jamais celle-ci ne saurait avoir augmenté dans une telle proportion, c’est vraiment impossible !

La seconde hypothèse est celle d’une attaque sous forme de guerre climatique. Vu ce que nous vivons en ce moment rien ne saurait nous étonner malgré l’existence d‘une convention dite ENMOD signée en 1976 et mise en vigueur depuis 1978 qui interdit les armes climatiques. Je dirais toutefois que le simple fait qu’une telle convention existe présume l’existence de telles armes. Par ailleurs nous sommes bien en guerre, c’est Macron qui l’a dit ! Sauf que la guerre qu’il mène n’est pas contre un virus, lequel n’existe peut-être même pas, mais contre le peuple ce que confirme son tee-shirt aux couleurs du bohémian club, un des repères propres à l’Élite qui dirige ce monde et nous fait la guerre. Cette agression de l’Élite contre les peuples est en fait mondiale. Ces gens qui usent de propagande et d’une piqûre empoisonnée, prétendument un vaccin, pourraient très bien avoir d’autres idées malfaisantes en réserve. La guerre climatique est probablement de celles-ci.

J’ai donc voulu pousser plus loin cette hypothèse. Vous allez voir qu’en fin de compte on arrive bien à des présomptions très fortes qu’un acte de guerre contre les peuples allemand et belge a eu lieu, sans certitudes absolues hélas au niveau du présent exposé.

    Les armes climatiques existent depuis longtemps. Historiquement, l’une des premières idées des hommes a été l’ensemencement des nuages afin de transformer de banales averses en déluge, voire de provoquer la pluie, ce qui est possible même par temps clair (à condition de disposer d’une masse d’air en surfusion ou d’agir aussi sur le mélange et/ou sur la température). L’usage d’iodure d’argent est connue sauf que tout cela suppose un survol à haute altitude de la cible par des aéronefs suspects…. Bref, ce ne serait pas discret. Laissons donc tomber cette hypothèse.


Ce qui s’est probablement vraiment passé a été abordé dès 2002 par Monsieur Jean-Pierre Petit sur son site internet www.jp-petit.org. Jean-pierre Petit est très connu des amateurs de sciences et de techniques. Il a aussi sa chaîne YouTube (plus de 63 000 abonnés). J’aime bien ce monsieur d’autant que nous sommes du même métier (sauf que lui était ingénieur dans le privé et moi simple technicien du public). C’est un type très sérieux qui argumente toujours et cite ses sources. Il n’est pas pour autant infaillible et même peut déconner, nous parler de «chemtrails» par exemple, ces idioties présentes partout ayant enrichi quelques essayistes photographe des traînées de condensation tout simplement laissées par des avions traversant un ciel clair en surfusion, c’est à dire très pur et à une température inférieure au point de rosée, la pollution issue des turbines fixant cette matérialisation. Mais finalement peu importe les rares dérives de cet auteur puisque ses sources sont citées : Il suffit de vérifier ! En ce qui concerne les «chemtrails» la chose est rapide puisque ici les sources sont des photographies du ciel et que n’importe qui y reconnaît immédiatement des traces d’avions. Ceci dit, bien sûr que des épandages chimiques existent probablement aussi… sauf que généralement ils se dispersent et restent donc invisibles.

Que nous révèle Jean-Pierre ? Dans un de ses article il nous dévoile, dès 2002 donc, l’existence d’un projet américain dénommé HAARP. Cet acronyme en anglais qu’il est inutile de traduire mot à mot (c’est compliqué) correspond à un projet prétendument scientifique mais en réalité militaire. Officiellement il s’agissait d’étudier les aurores boréales à partir de sondages radio-électriques. En réalité il s’agit d’étudier la ionosphère afin d’en exploiter les propriétés. La ionosphère a été découverte au XXe siècle en même temps que se développait la radio. Grace à elle les ondes radio, notamment les ondes courtes, pouvaient se propager très loin jusqu’à l’autre coté du globe. En fait dans cette partie de la très haute atmosphère les électrons se comportent un peu comme dans un tube électronique vu que nous sommes proche du vide et que la température y est très élevée (dans un tube il faut chauffer les électrodes, au moins la cathode, pour qu’un courant s’établisse. Les électrons s’y déplacent aussi sur de bien plus faibles distances). En fait de matière nous avons affaire ici à un plasma. Les rares particules encore présente y ont des réactions différentes en fonction de ce qui reste de pression et donc de l’altitude et peuvent réagir aux sollicitations radio en accord avec telle ou telle fréquence. Par ailleurs les impulsions électro-magnétiques, suivant d’autres découvertes (faites à partir de radars ?) permettraient d’ioniser temporairement certaines régions de l’ionosphère. J’arrête là car nous ne savons pas grand choses de ces techniques, les personnels travaillant là-dedans gardant l’essentiel de leurs découvertes pour eux. Toutefois, ainsi que nous le révèle Jean-Pierre Petit (voir son dessin), il est devenu notoire que HAARP permet de faire comme des «trous» dans la ionosphère ou d’activer comme des «miroirs» à l’intérieur de celle-ci. Les «trous» ouvriraient le passage à plus d’énergie solaire par exemple car la lumière est aussi un rayonnement électro-magnétique. Toutefois, personnellement je vois mal le flux solaire pouvoir dépasser la normale de ~ 1kW/m² au sol car par défaut il traverse cette couche mais bon, je me trompe peut-être ? Un «miroir» procure l’effet inverse (refroidissement). On pourrait ainsi accélérer une convection établie par le dessus, c’est à dire ajouter une source froide à son sommet et transformer un simple orage en ouragan.. Le «miroir» permet aussi de renvoyer n’importe quelle attaque électro-magnétique artificielle du sol vers une cible qui peut aussi être un nuage c’est à dire de l’eau . Entre «trous» et «miroirs» on peut imaginer aussi de façonner une «grille» permettant de moduler le flux solaire ou autres ondes mais tout cela est très théorique. Il n’y a que ceux qui utilisent HAARP qui savent de quoi cette arme est maintenant capable…

( Dessin de Jean-Pierre Petit )

Je vous abandonne là à vos réflexions les amis. L’État profond qui veut déjà tous nous empoisonner a certainement les moyens de s’en prendre à nos récoltes et, peut-être, de nous affamer. Maintenant et par les temps qui courent faites très attention à l’eau !

Annexes

Lire l'article de Jean-Pierre Petit. (Ref.)

Vue du centre HAARP de Gakona (Alaska)
Il y aurait au moins deux autres stations HAARP dans le monde.

 


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