mercredi 30 novembre 2005

"Coup de bec" n°21 - Novembre 2005


Cher lecteur Bonjour !



Nous arrivons maintenant à un point particulièrement complexe de notre étude, à savoir la nature et le fonctionnement des sociétés humaines les plus récentes et notamment de la société dite "de consommation". Ce faisant, nous ne partons pas de rien et beaucoup de choses sont déjà écrites.


Les études non écologistes servent encore de référence dans les idéologies dominantes politiquement dites "de gauche" ou "de droite". Elles présentent comme principales sources d'erreurs l'anthropocentrisme, la croyance en l'intelligence et en l'infinité des richesses terrestres... Bref, elles sont condescendantes et scientistes. Cela signifie que depuis qu'il ne compte plus sur Dieu, l'homme reste optimiste et insouciant parce qu'il se pense infaillible et compte sur ses élites et surtout sur la science, ce qui est une erreur car nous sommes tous des cons.

Les études écologistes sont encore peu sorties du microcosme militant. Les lacunes précitées semblent si évidentes aux auteurs écologistes qu’ils n’en parlent pas. D’autres trop préoccupés par l'urgence des problèmes, en oublient de prendre le temps d'en expliquer les fondements. Les paroles sages de chefs indiens tel Seattle sont quand même souvent citées en exemple ; Nous en reparlerons...


Revenons donc aux références connues en Europe. Karl Marx voyait le système capitaliste responsable de tous les maux humains et avait trouvé des coupables dans la grande bourgeoisie.
En fait, il avait presque tout comprit… Presque !


(à suivre)

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