jeudi 1 février 2007


«En un combat douteux et insensé» n°3

Dimanche dernier j'étais à la dernière grand-messe de la FEA . Il y avait là une personne qui nous a parlé d'espérance. Ça tombe bien car nous en avons drôlement besoin... Le problème c'est qu'il va falloir être porteur de cette aspiration là ! Ce 28 janvier à Paris nous pouvions en douter car la séance a commencée par un différent et s'est terminée par une fâcherie.

La politique est un engagement et une passion... C'est comme en amour ! La FEA c'est La France engagée dans l'action, des militants de terrain jaloux de liberté qui donnent leur temps mais aussi des acteurs qui ne signent pas de contrat tels de jeunes amants modernes. L'adhésion à la FEA est donc un peu virtuelle et, surtout chevaleresque par ce paradoxe qui veut aussi que les amours informels soient les plus passionnels. Pour le moment c'est Jean-Marc qui paye. Les autres amènent leur confiance, ce qui n'est pas moins précieux. Le mariage, c'est pour 2008, lorsque Jean-Marc aura craqué tout son pognon et que nous aurons sauvé la démocratie Française, premier pas pour sauver la planète Terre et les êtres qui y vivent.


Dans ces conditions ne soyons pas étonnés lorsque, comme dans un couple, les difficultés ne viennent pas de méchants rivaux ou d'avanies de style mais de l'intérieur. D'autres défis plus glorieux nous attendent mais ceux-là sont inévitables alors même que ce sont les plus désagréables. Nous voudrions ne pas avoir à les affronter et tel l'autruche ne voulons pas les affronter, oubliant là une péripétie vitale qu'il convient de traiter avec calme et compréhensions. L'entreprise ici crée n'est pas une saga romanesque mais un ouvrage collectif laborieux dont on ne peut négliger aucun organe moteur et encore moins taire les imperfections.

Dimanche matin, l'assemblée a tendu aux suspects une perche afin d'abréger un procès prématuré.
Toute la journée, des échanges fructueux ont ensuite porté le mouvement...

Au soir, Patatras ! Nouvelle polémique et là, peut-être avons-nous abandonné des camarades de valeur sur la piste du grand commencement ? Cette leçon coûte, autant que ce ne soit pas en vain :
Amis, il n'y a pas de fatalités !


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