L'année de la Vérité n°4

Où le plus urgent est d'attendre !

Je suis "tombé" sur ( en fait un ami m'a recommandé... ) le communiqué d'un dénommé Jean-Jacques Crèvecoeur, écrivain-penseur d'outre-atlantique.

Ce monsieur qui est très loin ailleurs dans le monde vit exactement comme nous, voit et entend les mêmes informations fausses, vit les mêmes joies ou angoisses, a vécu les mêmes illusions et subit les mêmes réalités assénées ! Peut-être est-ce aussi cela la mondialisation ?

Lui aussi voulait croire, a voulu la vérité puis s'est époumoné.
Lui aussi voudrait lutter mais lui aussi a fini par comprendre que tout cela est vain.

Lui aussi s'est cru citoyen avant de se rendre à l'évidence d'un monde sujet aux impératifs d'argent.

Ce n'est pourtant pas par lassitude qu'il renonce à tout combat. Il n'abandonne d'ailleurs pas vraiment car de son constat il conclu aussi que tout cela ne peux que s'effondrer, que ce système brutal et faussaire est finalement aussi fragile que tout ce qui se bâtit sur du vent ; bref qu'il suffit d'attendre… D'autant qu'il n'y a pas d'autres choix !

Son communiqué est ici :«Toutes ces choses que nous vivons actuellement…»

Et aussi « là » car avec cet Internet qu'«ils» voudraient aussi contrôler multiplier les gisements documentaires n'est pas inutile !

Commentaire non indispensable:

Le monde n'appartient à personne, même pas à ceux qui voudraient en être propriétaire. Vouloir être citoyen est plus légitime et c'est peut-être ce que Jean-Jacques voulait dire, exagérant quelque peu à moins qu'il lui soit trop dur de se voir aujourd'hui simple sujet, d'où ce décalage rhétorique ? Sujets, nous appartenons toutefois au monde, comme tout être sur cette terre et tel que l'avait pourtant dit Seattle, américain de souche.