Macron a confié à un dénommé Jolly la réalisation d'un message satano-wokiste pour ouvrir ce qui aurait dû être une fête du sport, à savoir l'ouverture des Jeux Olympiques (JO) de Paris. De nombreux médias libres se sont offusqués de scènes blasphématoires, notamment d'une représentation de la cène où les apôtres étaient remplacés par des drag-queens. Le pire n'est certainement pas là. Macron aurait voulu réveiller tous les cadavres de notre République plus ou moins cachés sous le tapis, pour ne pas dire à la cave ou dans quelques oubliettes, qu'il ne s'y serait pas pris autrement. Cette Marie-Antoinette décapitée, apologie du crime odieux et génocidaire que fut la Terreur n'avait pas sa place ici. Car c'était bien d'un génocide qu'il était question, le but étant d'éliminer l'ancienne noblesse à sang bleu et à titres héréditaires pour la remplacer par une oligarchie ploutocrate. Le pouvoir de l'or supplantait désormais celui de toute seigneurie, conté ou duché quelconque et même les Princes s'y soumettent désormais. Nous n'en sommes d'ailleurs plus là au XXIe siècle, l'or n'étant même plus une référence, l'actuelle oligarchie financière étant une mafia criminelle composée d'escrocs, tout simplement ! Ces gens, des faux monnayeurs, qui se connaissent très bien à partir de cercles occultes condescendants, voudraient maintenant imposer leurs vues au monde entier.
Certaines heures de la Révolution française sont d'une indécence abjecte. La Terreur est de celle-ci. Marie-Antoinette n'était pas une femme méchante et les médisances de l'époque étaient inappropriées. Le chant « Ah, ça ira » correspond à un retournement sémantique, comme quoi le parler ambigu ne date pas d'hier. Une nouvelle aristocratie prenait un pouvoir auparavant surtout monarchique. Ce chant est une propagande de guerre. Il n'est pas surprenant qu'il nous présente quelque chose tout à fait contraire à la réalité. Marie-Antoinette n'a jamais chanté ça. Cette mise en scène hideuse constitue une profanation à sa mémoire, celle d'une condamnée au nom du peuple par une bande d'imposteurs.
Ce qui est évoqué là n'est pas notre France. Notre nation a eu ses bons et ses mauvais moments. Nous avons eu de bons Rois et aussi des mauvais. Il en est ainsi d'une charge transmissible de père en fils. La Révolution française ne fut pas un cadeau. Ce fut tout de suite la Terreur, puis le massacre des vendéens, mais officiellement une « démocratie » représentative s'était installée. En pratique, il fallait être bien placé dans un des cercles de pouvoir et vouloir être prince pour se faire élire. Les ambitieux ne font jamais de bons princes, ce qui est normal, ils veulent juste gagner et ne pensent qu'à eux... Bref, c'était moins mal avant ! Aujourd'hui, nous en sommes toujours là. Notre République est la cinquième du nom. Les cercles de pouvoir sont apatrides et on y parle généralement anglais. Macron a son rond de serviette dans quelques-uns, sinon il ne serait pas Président.
Ce type est complètement fou. Il ruine le pays. Il nous a confiné et imposé toute une comédie « sanitaire » sous un faux prétexte de pandémie. Il veut faire la guerre « à Poutine », c'est-à-dire aux Russes qui, pourtant, ne nous ont rien fait. Par chance, nous n'avons plus les moyens de faire la guerre et tant mieux ! Il nous a annoncé (en 2020) l'arrivée de « la bête de l’événement », mais que voulait-il dire ?... Il n'en sait rien lui-même ! Ce mondain maîtrise au moins un truc, le parler creux et autres brassages des vents. Du bon mot ne voulant rien dire, au discours fleuve ébouriffant, en passant par quelques suggestions trompeuses ou évidentes, sa faconde ne sera de toute façon jamais malmenée par les obséquieux journalistes complices toujours prompts à propager ses manières de se mettre en valeur. Sa « bête de l'événement » n'est pour autant pas complètement vide de sens. Elle révèle une part de la nature profonde de Macron, un Président tourmenté, mystique et dangereux, ce que nous savions déjà. C'est forcément Macron qui est à l'origine du détournement de la cérémonie d'ouverture des JO. La mise en scène de monsieur Jolly n'est que conforme à la volonté d'Emmanuel, à moins que ce ne soit celle de sa Brichel. C'est aussi un message mondain adressé à un certain monde. Les « riens » auraient dû tout de même s'extasier grâce à l'emphase du spectacle qui leur était offert, mais auquel ils ne devaient rien comprendre. Macron et ses complices ont cependant été trop loin. Les Élites mondaines vivent, en un monde parallèle et obscur, des cultes à eux réservés aux gens initiés. Organisés en confréries, leurs prérogative les place au-dessus des lois communes. Ce sont là des organisations criminelles dont nous pouvons penser qu'elles ne sont pas nouvelles puisque le meurtre de Marie-Antoinette y est agréé. C'est là que ça ne passe plus ! Cela ne saurait passer auprès des gens normaux et ça ne passe pas avec moi.